Circuit du cœur historique de Tournai (en partie).

 

Avec Arlon et Tongres, Tournai est l'une des plus vieilles cités de Belgique. Berceau de la France, son histoire est riche et mouvementée et beaucoup de ses bâtiments, civils, militaires et religieux témoignent encore de son riche passé.

Départ de la maison de la culture (parking aisé).

Premier centre culturel reconnu en Communauté française de Belgique (juin 1968), la maison de la culture de Tournai a fondé sa politique culturelle sur 5 axes fondateurs : la diffusion, l’animation, la formation, l’expression et la création. La Maison de la culture de Tournai développe sa politique culturelle sur différents champs d’actions dans un rayonnement à la fois local, régional (Wallonie Picarde), communautaire et transfrontalier à l’échelle de l’Eurométropole Lille-Kortrijk-Tournai.

Place de Lille : 

Entre la Porte de Lille (2e enceinte communale) et la Grand-Place de Tournai, le Vieux Marché aux Vaches du Moyen Age se dénomme Place de Lille par décision des Consaux (gouverneurs de la ville) en 1587.

C’est par cette place que la peste de 1400 a envahi la ville et que les tournaisiens ont réceptionné les reliques de leur premier missionnaire Saint-Piat, apportées à Tournai en 1457 par le clergé de Seclin. C’est par ici que les lépreux étaient évacués hors les murs vers la léproserie du Val d’Orcq.

Porte d’entrée de Charles Quint et Philippe II en 1549, c’est aussi sur cette place que fut prêchée la réforme protestante en 1566 et que Louis XIV reçut les clefs de la cité en 1667.

Au centre de la place est érigé le Monument aux Français inauguré en 1897 à la mémoire des soldats français qui ont fait étape à Tournai avant de faire le siège d’Anvers et de vaincre les Hollandais en 1832.

Réaménagée en 1990, elle accueille chaque samedi le marché aux fleurs et légumes.

Bordée d’une vaste demeure du 17e, de maisons Louis XIV et de style tournaisien, elle renferme aussi la plus petite maison de Tournai (1689).
L’église Sainte-Marguerite a gardé sa puissante tour élevée vers 1350 et devient église abbatiale de Saint-Nicolas des Prés en compensation de la destruction de cette abbaye par Louis XIV pour réaliser le glacis de la citadelle. Elle est actuellement désacralisée.

L'école Normale de Tournai :

A Tournai, la Haute École en Hainaut célèbre cette année ses 141 ans d'existence. Fondée en 1879, l'établissement s'appelait alors l'École Normale de l'État et était exclusivement réservé aux filles en formation pour devenir institutrices.

L'église est bâtie sur le site d'une chapelle romane dont une attestation remonte à 1167 mais dont la première mention est notifiée dans une bulle du papa Clément III (du 12 juin 1190). 

La dédicace à Saint Jacques trouverait son origine dans le pèlerinage qui était plus important qu'aujourd'hui et Tournai constituait une étape sur le chemin menant de Bruxelles à Paris qui précède ainsi la Via Turonensis ; Tournai était alors métropole épiscopale.

Pour info : le 21 mai 1995 j'assistais à l'office religieux en cette église avant de me lancer le lendemain vers St Jacques de Compostelle (à vélo) en 12 étapes.

Quelques maisons style tournaisien.

Le style Louis XIV tournaisien ou classique tournaisien est un style architectural présent à Tournai à la fin du XVII  ^e siècle, c'est aujourd'hui le style architectural le plus présent et emblématique de la ville de Tournai.

Cet imposant immeuble est l’ancienne brasserie Saint-Yves. Construite en 1887 et abandonnée durant des années, la brasserie a été rachetée dans les années 1970 par le Logis tournaisien. En 2004, elle est inaugurée après restauration et réaffectation en appartements sociaux.

Sur un soubassement en pierre à bossage, la façade de trois travées se compose de deux hauts niveaux, tous deux rythmés par trois grandes arcades à clés sculptées et moulurées en pierre sur pilastres en briques. Les deux niveaux sont séparés par une inscription (Brasserie Saint Yves). Les baies comportent une traverse, un linteau et un seuil en pierre. Un pignon à gradin éclairé d’une baie à la typologie similaire surmonte la façade. Il est encadré et surmonté de pots à feu stylisés.

À droite de la façade, le portail imite le type tournaisien (XVII-XVIIIe siècles) grâce au jeu d’alternance entre la pierre et la brique. Il est surmonté d’un arc en pierre avec une clé moulurée imposante, est doté de vantaux en fer forgé et de chasse-roues et porte une inscription au nom de Gustave Carbonnelle, sous un crénelage en pierre et briques.

L'église de la Madeleine :

Sa construction en 1252, placée sous le patronage de Sainte Marie Madeleine, fut décidée par l'évêque de Tournai Gauthier de Marvis, à qui l'on doit le chœur gothique de la cathédrale.

Son architecture gothique est très sobre, à part les fenêtres et le chœur .

Les tours de la façade, dont l'une reste inachevée, remontent au 14 e siècle.  Le retable du maître-autel, composé de panneaux en bois sculptés et polychromes, retrace la vie de Sainte Marie-Madeleine.

Le jardin de la reine :

est créé en 1872 sur l’emplacement qu’occupaient des remparts, des fossés et bastions qui défendaient l’ancienne porte des "Sept Fontaines". Il est constitué en majeure partie d’une pièce d’eau située à peu près au même niveau que l’Escaut, tout proche. 

Le Pont des trous (avant)

Le Pont des trous (maintenant).

Le pont des Trous de Tournai est un ancien pont de style gothique, érigé au XIIIᵉ siècle, encadré de deux tours et enjambant le fleuve Escaut à Tournai, en Belgique. L'arche centrale a été dynamitée au début de la Seconde Guerre mondiale. Wikipédia

Le nouveau Pont des Trous est attendu pour 2021.......😏😏😏

Bâtiment d'époque.

Petites rues comme la rue "Muche Vaches" :

La rue témoigne de la présence passée de gros bétail il y avait auparavant un abattoir dans la rue.

Nous longeons maintenant l'Escaut avec sur la rive gauche la statue de Barthélemy Dumortier :

Le comte Barthélemy Charles Joseph Dumortier, né le 3 avril 1797 à Tournai et mort le 9 juillet 1878 dans cette même ville, est un homme politique belge et, parallèlement, un botaniste-naturaliste.

Déjà à l'époque l'épidémie de peste :

http://saint-andre.be/fr/histoire/lhopital/

Couvent des célestines * de Tournai (1621/1624 - v. 1890)

En 1667, Louis XIV, par l'intermédiaire de Vauban, chargea les ingénieurs français Louis Deshoulières et Jean de Mesgrigny de construire une citadelle au sud-est de la ville . Les célestines déménagèrent dans l'ancien hôtel des gouverneurs de la ville, rue du Château, paroisse de Saint-Nicolas, sur la rive droite de l'Escaut. À cette date, elles passèrent sous la juridiction de l'évêque de Cambrai.

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L’ordre des Célestins (en latin : Pauperes Eremite Domini Celestini) est un ordre monastique de droit pontifical. Les moines sont connus plus tard sous le nom de « célestins » lorsque leur fondateur Pierre de Morrone est élu pape (1294) et prend le nom de Célestin V. L'ordre se développe en Italie et en France. Il est supprimé en 1778.*

Eglise Saint Nicolas :

L’église Saint-Nicolas était jadis appelée « Saint-Nicolas du Bruille », faisant référence à la seigneurie dans laquelle l’édifice était établi, ou encore « église du château », lors de l’aménagement de la forteresse d’Henri VIII en 1515.

Cet édifice en calcaire de Tournai remonte à la fin du XIIe siècle, époque de la construction du chœur et d’une partie du transept. Ces deux éléments s’inscrivent dans la période de transition entre le roman et le gothique. L’église est achevée avant 1213 par l’ajout de la nef et de ses bas-côtés ainsi que de la majeure partie du transept en gothique tournaisien précoce. S’y greffe la tour située au dessus du croisillon sud, achevée après 1367. Son pendant, la tour du croisillon nord, n’a jamais été réalisée. Deux grands changements surviennent en 1409 (croisillon nord transformé en chapelle gothique, la chapelle des fonts ou chapelle Notre-Dame) et en 1496 (ajout d’une chapelle au sud du chœur, la chapelle du Saint-Sacrement ou chapelle des Anglais).

La façade est marquée en son centre par un portail néogothique en arc brisé surmonté de niveaux percés de trois baies en arcs brisés et d’une rose sans remplages, bordés de tourelles d’escaliers. L’intérieur a connu de nombreuses transformations aux XVIIIe et XIXe siècles mais les colonnes de la nef n’en restent pas moins remarquables par leurs chapiteaux de style gothique tournaisien, considérés comme les premiers de la ville et des environs.

Classée comme monument le 15 septembre 1936

Tour Henri VIII, dite tour des Anglais ou Grosse Tour (avant).

Maintenant........................................................😞😞😞

L’occupation de la ville en 1513 par les Anglais sera suivie de marques d’hostilité croissantes émanant de la population de la ville. Celles-ci ont incité le gouverneur militaire (Edward Poyning) à prendre en 1515 la décision de construire un château (citadelle) sur la rive droite de l’Escaut. A cet effet, on sépara le secteur nord emmuré de Tournai du reste de l’enceinte, au moyen d’un fossé et d’une muraille joignant l’Escaut à cette enceinte passant par la rue Joseph Hoyois et la place Verte actuelle. Une petite forteresse existait ainsi dans la grande. La nouvelle enceinte enfermait l’église Saint-Nicolas, l’hôpital Saint-André, la Maison du roi et de la monnaie. Dès lors, ce quartier devint le quartier du "Château", ce qui est encore le cas aujourd’hui.  La tour subsistante devait servir de donjon à la nouvelle forteresse. Construite en grès, cette tour a deux étages. Le premier, dont le sol est au niveau du terre-plein du rempart, forme une belle salle ronde de 13,50 m de diamètre, recouverte d’une voûte fortifiée par des nervures carrées. Un escalier, ménagé dans l’épaisseur d’une muraille de 6,95m d’épaisseur, mène à une salle semblable à la première mais qui ne dispose pas de nervures. Au centre de chaque voûte, deux ouvertures circulaires laissent pénétrer un jour faible. On monte à la terrasse par des degrés établis dans l’épaisseur de la muraille. Un parapet, à hauteur de poitrine, règne autour de cette terrasse. La hauteur totale de l’édifice, prise du fossé, est de 21 m.

La tour fut restaurée en 1854 sans qu'il lui fut restitué sa couverture ni les armes d’Angleterre qu’on y voyait jadis. Aujourd’hui, elle est en cours de restauration !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

La gare de Tournai :

La gare de Tournai est une gare ferroviaire belge de la ligne 94, de Hal à Froyennes, située à proximité du centre de la ville de Tournai dans la province de Hainaut en Région wallonne. Elle est mise en service en 1842. Wikipédia.

Rue Royale :

Création de la rue :

Pour trouver l'origine de la création de la rue Royale, il faut remonter au XIXème siècle. Vers 1865, on entreprit de démolir les fortifications de la partie nord de la ville et les responsables communaux décidèrent de créer en cet endroit un nouveau quartier à l'image de ce qui se faisait à cette époque : larges avenues, maisons bourgeoises à deux ou trois étages, parcs et jardins publics.

L'église Saint Brice :

L'église Saint-Brice est un édifice religieux catholique sis à Tournai, en Belgique.. Construite au XIIe siècle en style roman l'église est une des plus anciennes églises-halle. Dédiée à saint Brice de Tours l’église est lieu de culte de la paroisse catholique. Wikipédia

Les maisons romanes :

A la rue Barre Saint-Brice, deux remarquables maisons de style roman dressent leurs façades à pignon (1175-1200). Les fenêtres, prises entre deux cordons de pierre horizontaux, sont coupées par une colonnette monolithe. Prototypes de l’architecture des « stenen » flamands, elles figurent parmi les premiers spécimens de ce type de demeures en Europe occidentale. Dans la même rue, le manoir gothique (XVe siècle) présente une façade développant les principes architecturaux innovés dans les maisons romanes. La décoration des cordons continus est plus finie et on remarque plus de régularité dans la taille des pierres.

Notre Cathédrale qui domine la ville.

Je n'ai pas trouvé de renseignements pour cette statuette, merci de vos "lumières".  (rue Saint Brice).

Serge Tranchant	10:25 (il y a 32 minutes)
À moi

Bonjour Daniel et Mimi

 

La statue dont tu ignores l’origine est l’enseigne d’un ancien café de la rue de Pont (pas Saint-Brice) à la Bergère d’Ivry. Je passais en face durant les années soixante en allant à l’Athénée. Pourquoi cette statue plutôt qu’une autre  ?

Celle qui était surnommée la Bergère d’Ivry était Aimée Millot, jeune bergère de 19 ans, tuée le 25 mai 1827 par son amant Honoré Ulbach.

Merci aussi à Roland Campener pour les infos : Anciennement le café "La Bergère d’Ivry", très vieux café détruit en 1945 (établissement tenu par Cuignet (fille Danielle Cuignet) dans les années 50). Lors de la reconstruction, l’architecte Léonide Demarke (1895-1958) dont l’atelier était situé rue Général Rucquoy au n° 6, a fait appel à l’artiste GuillemineGadenne-Mortelmans.

Aimée Millot ou « la bergère d’Ivry » (1808 – 25mai1827) est une jeune femme de 19 ans , orpheline, bergère qui faisait paître ses brebis à Ivry. Elle est passée à la postérité pour avoir été assassinée par dépit amoureux par Honoré Ulbach le 25/5/1827

Imposante.

L'Escaut après les travaux de redressement.

La Naïade :

Installée le 31 aout 1950, sur un socle de pierre placé à l'entrée du pont, la statue va tout de suite provoquer des réactions offusquées, elle sera deux jours plus tard recouverte d'un tissu, puis enfin suite à une décision diocésaine de ne pas faire passer une procession sur le pont, retirée de son socle.

La ville d'Anvers proposa  tout de suite de l'accueillir dans l'un de ses parcs, elle restera cependant à Tournai : il sera envisagé de la placer dans un parc de la ville, mais elle sera finalement replacée entre deux peupliers devant un poème sculpté dans l'un des pilastres du Pont à Pont en décembre 1951.

Enfin en 1981 à l'occasion d'un hommage rendu à Georges GRARD, devenu sculpteur renommé, la statue sera placée devant le centre culturel de Hasselt avant d'être définitivement réinstallée en janvier 1983 sur son socle initial.

  Le passage Saint Pierre : 

La Place Saint Pierre :

Le quartier Saint-Pierre avec sa place constituait un quartier vivant de la cité carolingienne et médiévale. Jadis, le port et le secteur marchand bénéficiaient d'une place considérable. L'existence d'un édifice du culte est citée dès 1108. Dédié à saint Pierre, patron des pêcheurs, son emplacement dessiné par des grès est visible dans le sol. L'église détruite en 1821, la ville envisage la transformation complète de la place. C'est en 1850 que plusieurs maisons seront supprimées libérant un espace considérable qui détermine la physionomie actuelle de la place. L'étude en est confiée à l'architecte Bruno Renard et le style néo-classique s'impose.

La place est classée en 1992 comme ensemble architectural. En 2005, une nouvelle place voit le jour respectant les "critères" de Bruno Renard. Entièrement restaurée dans le cadre du projet européen Interreg "Pistes" avec l'aide de la Région Wallonne, elle présente un ensemble tout à fait cohérent, peint uniformément en blanc. 

Pour les anciens (comme moi), souvenez vous, c'était un dancing "le Saint Trop" , souvenirs    souvenirs    😜😜 .

La cathédrale  Notre Dame.

   Mon école, l'école des frères :

Les Frères des Écoles Chrétiennes sont à Tournai depuis 1821. En 1819, un groupe de notables tournaisiens, parmi lesquels Barthélémy Dumortier, obtient l'accord du Supérieur Général des Frères des Écoles Chrétiennes pour installer dans la ville un établissement scolaire primaire de la congrégation.

La cathédrale (XII s) est classée au patrimoine de l’UNESCO.

Elle se démarque par ses styles romans et gothiques qu’elle allie avec perfection, ses dimensions exceptionnelles et son fabuleux trésor. Des travaux importants sont entrepris et à L’intérieur certains accès sont interdits.   

"Fausse porte" Chapelle Saint Vincent

Cette petite construction (XII s) de style gothique relie la nef romane de la cathédrale et le palais épiscopal.

Elle était destinée à l'usage privé de l'évêque qui ne voulait pas se mêler à la foule lorsqu'il devait rejoindre la cathédrale.

  

Saint Luc peignant la Vierge.

Le beffroi de Tournai est le plus ancien beffroi de Belgique et il est inscrit au Patrimoine majeur de Wallonie. Créé au XIIᵉ siècle, il est le plus vieux des beffrois conservés en Belgique. Il figure sur le Plan relief de la ville de Tournai, en bordure de la Grand-Place de la ville. Wikipédia

Suivant l’évolution de la société, le Conservatoire de la Ville de Tournai apporte depuis 1829 sa contribution à l’épanouissement culturel et artistique de la cité. Il offre un large éventail de formations de nature à apporter à l’enfant (dès 5 ans), à l’adolescent mais aussi à l’adulte, un complément de culture essentiel à son épanouissement personnel, sans négliger la part de divertissement et de plaisir.

Situé au sein d'un agréable parc, l'Hôtel de ville de Tournai occupe une partie de l'ancienne abbaye bénédictine Saint-Martin. Ce monastère tournaisien du XIᵉ siècle fut supprimé en 1797 et la plupart des bâtiments, notamment l'église, ont disparu. Wikipédia

Le Musée du folklore ou Maison tournaisienne occupe depuis 1930 une bâtisse typique du XVIIᵉ siècle, située dans une ruelle adjacente à la grand-place de Tournai en Belgique. Des scènes de la vie quotidienne en ville comme à la campagne sont reconstituées. Wikipédia

Une première halle, en bois, avait été construite au xiii^e siècle à la suite d'une intervention de l'évêque de Tournai, Gautier de Marvis. La ville ayant enfreint le droit d'asile du chapitre cathédrale, incapable de payer l’amende, fut contrainte d'abandonner des bâtiments à l’Église.

Reconstruite en 1610 après une tempête, la Halle aux draps impose aujourd’hui encore sa silhouette Renaissance sur la Grand-Place de Tournai. L’auteur, le maître maçon Quentin Ratte aurait travaillé selon les plans de Jacques Van den Steen. La bâtisse s’est effondrée à nouveau en 1881 mais fut réédifiée à l’identique.

Aujourd'hui, elle accueille des expositions et d'autres événements ponctuels comme le rendez-vous gastronomique « Tournai des Saveurs ».

Dans le courant de 2021, la halle aux draps subira une rénovation importante de l'intérieur.

La Grand-Place est la grand-place et le centre d'activité de la ville belge de Tournai. La place a une forme triangulaire, elle le doit à la convergence de plusieurs voies antiques. Wikipédia

Belle marche, malheureusement sous la pluie, à refaire car encore beaucoup d'autres découvertes intéressantes dans notre BELLE VILLE TOURNAI.

Bonne année 2021 à tous mes lecteurs 🎅🎅 .